photo L'appel des libellules

L'appel des libellules

Nature - Environnement, Cinéma

Cénevières 46330

Le 02/05/2025

EVENEMENT - CAUSSERIE Le Parc naturel régional des Causses du Quercy - Géoparc mondial Unesco vous propose dans le cadre de ses animations culturelles, LES CAUSSERIES. « L’Appel des libellules » (54 mn- 2020 – M. Daniel et F. Mazzocco) nous plonge dans le monde fascinant de ces créatures à la fois petites bêtes des profondeurs, prédatrices farouches et danseuses colorées de haut vol… La projection du film sera précédée d’une présentation de l’exposition de photographes amateurs du Quercy qui met en lumière les milieux et les espèces des sites Natura 2000. Elle sera visible au fil de la rivière Lot, dans les villages riverains de mai à septembre.

photo Journée des Ateliers d'Artistes d'Occitanie - Atelier d'Antonella Felzines

Journée des Ateliers d'Artistes d'Occitanie - Atelier d'Antonella Felzines

Peinture, Atelier

Faycelles 46100

Le 10/10/2021

Antonella Innocenzi Felzines s’exprime dans un langage oscillant entre une peinture de facture classique, expressionniste ou réaliste, en fonction de ses sujets. En reproduisant la réalité qu’elle observe, son œil choisit le détail. En s’arrêtant sur le point de vue, elle travaille en photographe. Comme dans un cliché, sa peinture est une affaire de cadrage. Ce qui semble intéresser l’artiste par-dessus tout, c’est le reflet. D’un paysage, elle retient toujours ce qui lui permet de reproduire le miroitement. Le ciel réfléchit son étendue lumineuse et métallique sur la surface calme du lac. Comme les romantiques, l’artiste exprime à travers la nature, son état d’âme. Mélancoliques, ses paysages sont doux et silencieux. Elle choisit l’instant où la nature arrête son frémissement, avant que la nuit ne tombe, que les contours ne disparaissent et que le spectacle naturel ne devienne un monochrome. Aucun mouvement ne vient déranger l’atmosphère un peu irréelle qui s’en dégage. Antonella Innocenzi Felzines fait découvrir au spectateur le monde d’un œil solitaire. Dans les endroits inhabités où elle nous promène, elle observe les changements imperceptibles de la lumière qui diminue,